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Pour 500€, participez à la construction d’une « île sanctuaire » pour que des orangs-outans en cage aujourd’hui retrouvent eux-aussi la forêt, leur milieu naturel !

Une île sanctuaire pour les orangs-outans qui ont des maladies ou des handicaps insurmontables leur permet de vivre quasiment comme en milieu naturel.

Île en construction-Nyaru Menteng II, ©BOS France

Île sanctuaire habitée- Semboja Lestari, ©BOSF

La construction d’une île sanctuaire coûte plusieurs dizaines de milliers d’euros.
Selon le site choisi dans les centres de BOS,  une île doit être excavée ou remplie par du sable et de la terre, plantée et équipée de lianes (matériau recyclé de pneus usagés) pour dès le début permettre aux orangs-outans de se balancer d’arbres en arbres, de plateformes ou d’abris. Les douves qui encerclent l’île (les orangs-outans ne nagent pas) doivent être excavées, remplies d’eau et renforcées afin que l’eau ne s’infiltre pas dans la terre

Votre don contribue à la construction de ces îles, et aux orangs-outans, qui sont aujourd’hui détenus dans des cages, à recouvrer une certaine forme de liberté, proche de celle qu’ils expérimenteraient dans la nature.
Nous vous informerons de la construction de votre île sanctuaire à laquelle votre don a contribué et donnerons des détails des orangs-outans qui y seront hébergés.

137 orangs-outans se trouvent en soins permanents dans les 2 centres de BOS (Semboja Lestari, Nyaru Menteng)

©BOS France

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Certains orangs-outans ne peuvent être remis en liberté.
Les raisons sont multiples: ils ont besoin de soins spécifiques ,
de médication régulière pour soigner leur maladie (tuberculose, ou maladie
respiratoire chronique par exemple). 
Mais aussi pour d’autres raisons: certains ont contracté des maladies humaines lorsqu’ils ont été en contact avec les humains dans les attractions touristiques ou tenus comme animaux de compagnie; ou bien ce sont ceux qui n’ont pas pu acquérir les compétences requises pour leur survie en liberté parce qu’ils ont été trop traumatisés ou maintenus trop longtemps en captivité; finalement nous avons aussi des orangs-outans qui ont des handicaps (aveugle ou amputation suite à blessures).

A ce jour  une petite cinquantaine seulement des 137 « unreleasable » bénéficient déjà d’une vie proche de l’état sauvage.

Les autres besoins liés aux bien-être et soins des orangs-outans restent considérables: équiper la clinique, prodiguer les soins aux orangs-outans malades, blessés ou faire des check-up d’orangs-outans que l’on transfère des zones de conflits vers les forêts protégées

En plus de soigner et materner les orphelins par des femmes prenant le rôle de mère de substitution (présentes chaque jour, voire chaque nuit), le programme de réhabilitation prévoit un apprentissage individuel et par niveau qui peut durer jusqu’à 7 ans.

 

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